L’ANBIC change les vies.
Au cours de la dernière année, nous avons été en mesure de soutenir plus de 300 familles à travers notre programme de soutien aux familles , et ce, en les mettant en lien avec de l’information et en obtenant les mesures de soutien et les services dont elles ont besoin. Nous avons obtenu ce résultat grâce aux efforts de notre équipe de soutien aux familles.
Nous avons besoin de votre aide. Nous faisons face à un déficit de 65 000 $. Notre poste de facilitateur de soutien aux familles provincial est vacant et nous ne pouvons le doter en raison du déficit. Sans le facilitateur au soutien des familles, au moins 50 familles seront coupées de ressources et d’information essentielles, n’auront pas de soutien pour assister aux réunions et n’obtiendront pas les mesures de soutien et les services dont elles ont désespérément besoin.
« Ce que vous avez fait pour moi, je souhaite qu’un million d’autres familles puissent obtenir le même soutien. Nous ne sommes pas arrivés à obtenir des résultats tout seuls. Nous avons eu besoin de vous et vous étiez présents pour nous à toutes les étapes du parcours. » – Kaye Dixon
Nous vous prions de donner maintenant, afin que des familles comme celle de Kaye continuent de recevoir le soutien dont elles ont besoin pour mener des existences heureuses, satisfaisantes et sécuritaires. Ensemble, nous pouvons changer les vies et changer les communautés.
Chère ANBIC,
En septembre dernier, quand celui qui était mon mari depuis 23 ans a décidé de quitter le foyer, mon univers s’est écroulé autour de moi. J’avais 50 $ à mon nom, et comme femme au foyer mère de trois beaux enfants, dont deux exigeant beaucoup de soins, je sentais que j’étouffais. Après la perte de mes parents, et maintenant mon mari, je me retrouvais soudainement parent unique. J’étais seule, effrayée et je n’avais aucune idée de la façon de garder un toit au-dessus de la tête de mes enfants, ou de la façon de me débrouiller pour les nourrir, et c’est sans compter les factures qui s’accumulaient. J’étais désespérée et je ne savais pas vers où me tourner. J’avais l’impression que ma famille était en train de se noyer et qu’elle ne pouvait respirer.
Je me suis souvenu à quel point vous aviez été utile en soutenant Megan au fil des ans. J’ai donc fait appel à vous. Tout de suite, votre personnel s’est mis au travail, a obtenu un supplément de loyer et a atténué ma crainte de me retrouver sans logement. Vous avez été mon bateau de sauvetage. Vous avez par ailleurs cherché partout et trouvé le logement parfait, qui répondrait aux besoins particuliers et complexes de mes enfants, avec une merveilleuse propriétaire, Ellen. Nous venons tout juste de nous y installer et c’est parfait! Je suis très heureuse que nos enfants soient capables de rester à leurs mêmes écoles avec le moins de changement possible à leurs habitudes.
Il semble que chaque fois que je fais face à un problème, votre personnel a toujours des mots encourageants et une solution créative. Il y a quelques mois, ma fourgonnette de 2003 a nécessité des réparations importantes. Notre famille dépend beaucoup de son véhicule, puisque l’une de mes filles doit aller régulièrement à l’hôpital IWK à Halifax pour des raisons d’ordre médical. Le coût de la réparation de la transmission était exorbitant, et je suis très reconnaissante que vous ayez allégé le fardeau. Peu importe les difficultés auxquelles je me heurte, à quel point la situation est intenable, votre soutien me permet de respirer et votre encouragement me permet de voir la lumière au bout du tunnel. Chaque jour, je fais face à de nouveaux défis.
Au printemps, quand j’ai eu un appel de l’école de mon fils, qui m’informait qu’il allait perdre ses transports accessibles pour cette année scolaire, j’ai senti que j’allais m’effondrer. Mais c’est à ce moment que j’ai pris le téléphone et que je vous ai appelés. Une fois encore, vous m’avez rappelé que vous êtes toujours là pour moi et que vous veillerez à ce que mes enfants obtiennent ce dont ils ont besoin. Merci de m’empêcher de m’effondrer. Grâce à l’ANBIC, quand l’école a commencé le mois dernier, je n’ai pas eu à m’inquiéter de la façon que Nathan allait se rendre à l’école.
Nous entendons souvent le proverbe, « il faut tout un village pour élever un enfant ». Bien que mes mots ne puissent jamais exprimer toute ma gratitude, je tiens simplement à vous remercier d’être mon village. Je ne veux même pas imaginer ma situation si vous n’existiez pas. Chaque jour, je suis reconnaissante de vous avoir pour me soutenir dans la vie. Je vous remercie d’écouter, d’aider ma famille et d’être mon partenaire. Je ne suis pas encore sortie de la tempête, mais je sais que vous marchez tous à mes côtés pendant cette saison de la vie, et que des jours meilleurs s’en viennent.
Cordialement,
Kaye Dixon
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