À nos partenaires de l’inclusion :
Comme beaucoup d’entre vous le savent, les plans du gouvernement provincial visant à modifier le projet de loi 46, la Loi sur l’éducation, ont été interrompus aujourd’hui.
Il s’agit d’une victoire pour notre mouvement en faveur de l’inclusion scolaire au Nouveau-Brunswick.
Bien que l’accent ait été mis sur la façon dont les changements proposés au projet de loi 46 étaient liés à la gouvernance, il est important de noter qu’il y avait également des changements dans le projet de loi 46 qui auraient eu un impact négatif sur l’inclusion scolaire au Nouveau-Brunswick. Plus précisément, le droit fondamental des élèves ayant un handicap d’être inclus dans les écoles et les salles de classe de leur quartier avec leurs pairs.
Il s’agit du fondement même de l’inclusion scolaire, qui fait l’objet d’une législation dans notre province depuis le milieu des années 1980.
Inclusion NB a travaillé avec diligence pour souligner la façon dont ces changements proposés affaiblissaient l’inclusion dans nos écoles. En fait, le mois dernier, le ministre de l’Éducation, Bill Hogan, a dit aux Néo-Brunswickois que le langage du projet de loi 46 devrait être corrigé après qu’Inclusion NB ait fait part de ses préoccupations.
Depuis, nous avons rédigé notre propre cadre de propositions d’amendements et l’avons communiqué au ministre ainsi qu’aux partis d’opposition. Cette défense est essentielle pour protéger les droits des élèves ayant un handicap intellectuel ou développemental et de leurs familles.
Bien que le chemin pour y parvenir n’ait pas été simple, nous sommes satisfaits du résultat et de voir que la loi actuelle sur l’éducation reste intacte.
Comme toujours, nous nous réjouissons de travailler avec nos partenaires du gouvernement pour continuer à construire un système éducatif plus inclusif au Nouveau-Brunswick.
Bien à vous dans l’inclusion,
Sarah